L'expérience Space Black

Les racines de la date de retour d'expérience espace noir quelque 8500 ans, lorsque le calendrier lunaire a été conçus à partir d'un os. Comme les anciens peuples ailleurs dans le monde, les Africains (Afrique sub-saharienne peuples noirs) "partagé la même inspiration et d'admiration des étoiles» et «du mal à lui donner un sens [grâce à] la créativité et l'intelligence» [1] patiemment de prendre "d'innombrables générations de regarder, de justifier et de cartographier le ciel »[2] et de définir leur relation avec eux. Selon le Dr Thebe Medupe, un éminent astronome à l'Université de Cape Town et le South African Astronomical Observatory, "[Africains] constellations en forme sur des modèles stellaires et sont venus avec des histoires à leur sujet, ... calendriers construits pour organiser leur vie et même alignements de pierres érigé ... pour suivre le soleil de 'path' tout au long de l'année. "[3] C'est pour cette raison que Bernard Harris, Jr., le premier astronaute noir à marcher dans l'espace a déclaré:« Lorsque nous regardons l'histoire elle-même, vous se rendre compte que l'astronomie - l'étude des étoiles - que l'origine toute ... [était] réalisée par des personnes originaires d'Afrique. Et maintenant je peux voler parmi ces mêmes étoiles "quand soulignant l'importance de connaître et de comprendre l'histoire -" Si vous ne savez pas où vous êtes et où vous êtes venus, vous ne savez jamais où vous allez "[4. ]

Les sociétés africaines qui remontent aux temps anciens invoqués "les étoiles pour prédire la probabilité de pluie, afin qu'ils puissent préparer la terre" [5] pour la plantation, pour la migration (par exemple le peuple Bozo du Mali "migrer le long du delta du Niger rivière, quand la surcharge de transit Pléiades et commencent leur saison de pêche lorsque les Pléiades quitter le ciel de la nuit "[6]) et de la navigation ainsi que pour déterminer les points dans le temps, conduisant à la construction de mégalithes (grosse pierre) des observatoires et le développement de la Lune à base de calendriers, qui tous ont critiqué car pour eux, «les connaissances sur le mouvement des étoiles [était] une question de vie ou de mort." [7]

En conséquence, la Lune et les étoiles avaient une place spéciale dans les sociétés africaines. Dans la République démocratique du Congo (RDC) "la Voie Lactée est appelé« horloge de Dieu »[puisque] il est orienté est-ouest pendant la saison humide et ... nord-sud au milieu de la saison sèche. [8] À l' en même temps, dans "le centre du Nigeria ... une forte corrélation [est] observée entre l'inclinaison des points sur le croissant de lune et les précipitations. Comme les points d'inclinaison vers la droite, une augmentation spectaculaire dans la pluie [automne se produire et] que l'inclinaison des points vers la gauche, une baisse spectaculaire de la pluviométrie [se] [9].

Deux célèbres mégalithes africains qui ont fait usage de l'astronomie sont Nabta, construit entre 5500 avant JC et 3500 Colombie-Britannique par centrale nomades d'Afrique dans le sud de l'Egypte près de la frontière des temps modernes avec le Soudan et Namoratunga II, qui a été érigé en 300 avant JC (Aligné sur les 7 étoiles du calendrier Borana - Triangulum, Pléiades, Aldebarran, Belletrix, Orion, Saiph, et Sirius) [10] et se tient près du Kenya du lac Turkana. Sur la base de données archéologiques, Nabta constitué de "pierres alignées avec les différentes positions lever du Soleil ... (causé par la rotation de la Terre) [utilisés] pour déterminer les saisons» [11] est peut-être la plus ancienne d'alignement astronomique dans le monde, 1000 ans plus ancien que Stonehenge. Dans le même temps les découvertes archéologiques indiquent que les Mursi d'Ethiopie et Koushites et Bambara du Soudan ont également été influencés par et «intéressé par horizon et le zénith (le lever du soleil et le coucher du soleil) des événements» [12] comme l'étaient les peuples qui habitent le Bénin, le Togo et le Zimbabwe .

Au Bénin et au Togo, «les gens Batamalimba conçu leurs maisons de telle sorte que leurs traverses [étaient] aligné au lever du soleil au coucher du soleil d'équinoxe», tandis que les gens Karanga construit "un motif en chevron traversée par le Soleil du solstice" dans la ville de pierre du Grand Zimbabwe qui était construite vers l'an 400 et terminée vers l'an 1350 à l'occasion "d'importantes astronomiques des événements saisonniers." [13] En outre, les pyramides de Méroé construits dans Kush (qui fait maintenant partie du Soudan) et les plus de 1600 cercles de pierre découvert à ce jour dans le terres constituant la Gambie, le Sénégal et le Togo sont susceptibles d'autres exemples de archéoastronomie africaine.

En conjonction avec la construction de mégalithes, les sociétés africaines, allant du sud de l'Afrique sub-saharienne Afrique du Nord, a également développé des calendriers basés sur le cycle lunaire. Le plus ancien calendrier par exemple, l'os d'Ishango, datant de 6500 avant J.-C. qui «a été trouvé sur le site d'un village de pêcheurs sur les rives du lac Edward qui borde la [République démocratique du] Congo (RDC) et en Ouganda» [14] et l'on croit avoir été utilisé pour la prévision des phénomènes de marée. Dans le même temps, un autre calendrier lunaire basé sur les début d'une série de cercles concentriques allant en nombre de 29 à 30 a été trouvé dans "certaines grottes en Tanzanie." [15]

Même aujourd'hui plusieurs peuples africains utilisent des calendriers lunaires. Les exemples sont les Borana du sud de l'Ethiopie et au nord-ouest du Kenya, les Mursi d'Ethiopie, le Ngas du Nigeria, et le Dogon du Mali, chacun d'entre eux ajoute, soit un mois supplémentaire composé de 11 jours à la fin de l'année ou de 33 jours mois à la fin de chaque troisième année pour compenser la différence qui découle de l'année 365,25 jours solaires (période de temps, il prend la Terre pour compléter une révolution autour du Soleil) dans lequel il ya 12 cycles lunaires (période de temps allant de la première montée de la nouvelle lune à la mise en finale de la pleine lune) constitué de 29,5 jours chacun. Le Ngas utiliser le terme «bergu" pour chaque mois de 29,5 jours et "gamwe» pour décrire les 11 derniers jours qui suivent la 12e et dernière "bergu" de chaque année. En outre, certains peuples d'Afrique du Sud "toujours utiliser le même mot pour le mois et de la lune» [16] en raison de leur relation connotative.

En raison de leur intérêt dans les cieux et leur tentative de créer des cadres intelligibles autour d'eux, les Africains aussi développé des mythes et légendes entourant les corps célestes et des constellations. "Les Pléiades et Sirius chiffre largement dans la tradition étoile de les peuples du Mali et l'Ethiopie ... La voie lactée ... et Venus ... sont axés sur toute l'Afrique, tandis que la Croix du Sud est importante pour le zoulou, sotho, tswana et [peuples] de l'Afrique australe et ... reconnu comme une constellation de navigation. "[17]

Des exemples de ces mythes et légendes africaines sont comme suit: Les Bushmen qui habitent le sud de l'Afrique "pense que la Voie Lactée a été faite par une jeune fille Bushman qui voulait un peu de lumière et jeta la cendre de bois dans le ciel [la création] différentes étoiles colorées en jetant différente couleur brûler les racines en l'air. [Il ya aussi deux autres histoires. Une implique] deux étoiles de la Croix du Sud, Alpha et Gamma Crucis ... Le créateur a eu deux fils appelés Khanka et Khoma. Un jour, les deux garçons sont allés à la chasse avec une famille de lions, mais les lions perfides mangé les garçons. Dans sa colère et le désespoir, le créateur a fait feu et la cacha dans un météore déguisé en corne un élan de. Le créateur a appelé en bas de la météorite et il a frappé [et tué] le lion. [Ensuite, le créateur] coeur se calma et il y avait le feu à tout le monde. Khanka et Khoma sont Crucis Alpha et Gamma Crucis. [La prochaine est d'environ Pléiades et les trois étoiles de la ceinture d'Orion, dans laquelle] ... sept filles du dieu du ciel (Pléiades) se sont mariés à un chasseur. Un soir, [il] a la chasse [pour] zèbres (les trois étoiles du Baudrier d'Orion). Il était un mauvais chasseur que sa flèche manquée, et parce qu'il avait peur du lion à proximité (Bételgeuse, une étoile), il a quitté la flèche où il se trouvait (maintenant connu comme l'épée d'Orion). [Par la suite, étant] ... trop gêné pour [rentrent] chez eux à ses épouses, parce qu'il n'avait pas la viande de leur apporter, ... il [est resté] à ... dans le froid comme l'étoile Aldebaran appelé. "[18]

En plus d'une simple étude de l'astronomie, l'élaboration des calendriers lunaires, et la création de mythes et de légendes sur les cieux, les Africains ont également échangé des informations et des idées avec des scientifiques islamiques ont suivi la création de routes commerciales protégées dans les domaines englobant le Mali, la Mauritanie et le Sénégal. Le pic de cet échange a eu lieu pendant le règne du Ghana, du Mali et du Songhay empires (c. 1200-AD AD 1591) lorsque les commerçants islamiques voyagé dans les villes africaines à la recherche de l'or, le niveau économique de leurs terres après savant iranien, Ibn al -Faqih al-Hamadhani écrit dans c. Ap 900:

Il est dit qu'au-delà de la source du Nil est l'obscurité et au-delà les ténèbres sont les eaux qui rendent l'or de grandir ... à la ville du Ghana est un voyage de trois mois à travers les déserts. Dans le pays du Ghana d'or pousse dans le sable comme les carottes faire, et est cueilli au lever du soleil. [19]

Au cours de la hauteur de ce commerce transsaharien, les érudits islamiques créé des centres d'apprentissage et a introduit la langue écrite, ce qui entraîne la création de milliers de livres africains relatives à l'astronomie et la science.

Cependant, il n'était pas jusqu'à la fin du 20e siècle, une vingtaine d'années après les États-Unis et la défunte Union soviétique (URSS) avait commencé leurs programmes de vols spatiaux habités, que les descendants de ces premiers astronomes africains réellement fait dans l'espace, beaucoup de partie grâce aux efforts de Weathers Luke (né en AD 1920), un monde noir Seconde Guerre vétérans avec un diplôme en sciences et en biologie et d'autres qui avaient "fait pression de l'armée américaine pour former un corps de pilotes noirs au Tuskegee Institute en Alabama ... de prouver que les Noirs américains ... capable de traiter les emplois les plus difficiles ... ». [20]

Cela a conduit à Juin AD 1967, lorsque un autre pilote, le major Robert H. Lawrence, Jr. (1935-AD AD 1967) avec plus de 2500 heures de vol derrière lui, terminé avec succès de la Force aérienne du test en vol de formation au pilotage School à Edwards Air Force Base en Californie et a été nommé le premier Afro-astronaute américain. "Bien qu'il ne l'a jamais fait dans l'espace" [21] en train de mourir le 8 Décembre lorsque le Starfighter F-104 piloté par un stagiaire dont il a été instruction s'est écrasé, le major Laurent avait participé à la Force aérienne laboratoire en orbite habités (MOL) Programme, un projet que «conduirait à terme à la station spatiale internationale aujourd'hui." [22]

Malgré ce revers, les Noirs n'allaient pas être privés de leur place dans l'espace. Après le succès du mouvement des droits civiques, de nouvelles opportunités apparues beaucoup plus due en partie à améliorer l'éducation et l'égalité des chances chances. En conséquence un plus grand nombre de Noirs inscrits et ont été acceptés dans le programme spatial américain.

L'histoire a été faite le 18 Septembre, AD 1980, lorsque Arnaldo Tamayo Méndez (né en AD 1942), un Cubain noir-hispanique du patrimoine a été lancé dans l'espace dans le cadre du Soyouz 38 de l'équipage. "Après l'amarrage avec Saliout 6, Tamayo (un pilote de l'air cubaine Force) et de [son partenaire Yuri] Romanenko (b. AD 1944) ont mené des expériences dans une tentative pour trouver [la cause] du mal de l'espace, et ... un remède." [ 23] Il a passé 188 heures et 43 minutes dans l'espace avant de revenir sur Terre à bord Septembre 26, AD 1980.

Elle a été suivie par le Août 30, 1983 AD lancement de Guion "Guy" Bluford (b. AD 1942), l'US Air Force colonel qui avait étudié en génie aérospatial et une mineure en physique des lasers, à bord de la navette spatiale Challenger sur la mission STS- 8 mission qui a duré 145 heures. En entrant dans l'espace lors du lancement des mondes premier soir, Guy Bluford est devenu le premier Afro-Américain astronaute à faire le voyage.

Ensuite Guy Bluford a participé à trois missions supplémentaires - STS-61-A (Octobre 30-Novembre 6, AD 1985 à bord de Challenger), STS-39 (Avril 28 le 6 mai 1991 à bord de Discovery AD), et la mission STS-53 (Décembre 2 -Décembre 9, AD 1992 à bord de Discovery). Au cours de sa carrière, le colonel Bluford qui a quitté le service actif dans l'espace 1993, a amassé 28 jours, 16 heures et 33 minutes dans l'espace. Depuis lors, le colonel Bluford a été intronisé au Temple de la renommée internationale de l'espace (AD 1997) et "a parlé devant des groupes nombreux ... où il sert en tant que modèle de rôle,« autant que possible parce que sa mère, un enseignant, et le père, un ingénieur , l'avait encouragé et ses trois frères à «fixer des objectifs élevés» et parce que il a ignoré les conseils d'un conseiller scolaire pour "apprendre un métier, car il n'était pas importante du collège." [24]

Le prochain astronaute noir à faire l'histoire était le Dr. Mae Jemison (b. AD 1956), la fille d'un ouvrier d'entretien (son père) et professeur (sa mère) qui a obtenu un BS en génie chimique, d'un baccalauréat en études afro-américaines , et un doctorat en médecine. Notamment, au cours de ses années dans l'école de médecine et de la participation dans le Corps de la Paix, elle avait fourni des soins médicaux aux personnes à Cuba, Kenya, Libéria, Sierra Leone, et la Thaïlande.

Lorsque la navette spatiale Endeavor a été lancé le 12 Septembre, AD 1992, le Dr Jemison est devenu le premier Afro-Américaine dans l'espace. Après sa 7 jours, 22 heures, 30 minutes à bord Endeavor mission en tant que spécialiste de mission (STS-47 Septembre 12-20, AD 1992), Jemison a pris sa retraite de vol dans l'espace pour fonder Le Groupe Jemison "à la recherche, développer et mettre en œuvre des technologies de pointe adaptées à la vie sociale, le contexte politique, culturel et économique de l'individu, en particulier pour les pays en développement. "[25] Pourtant, malgré ses occupations de la NASA de poste, le Dr Jemison dans la suite de l'encouragement et le soutien donné par ses parents, encourage systématiquement les Afro-Américains à poursuivre des carrières scientifiques, notamment avec le programme spatial - «C'est la seule fois où nous pouvons entrer sur le rez de chaussée." [26]

Une histoire tiers faisant l'astronaute noir était le Dr Bernard A. Harris, Jr. (né en AD 1956), un pilote privé et le chirurgien de vol avec un doctorat en science médicale et une maîtrise en sciences biomédicales qui avait rêvé "à regarder vers le bas sur les nuages ​​», car il était de 8. «Je regardais ce qui se passait avec le programme spatial, regarder ces gars-là aller jusqu'à ... les gens les appelaient héros américains. Je voulais être un héros trop ", at-il déclaré lors repensant à l'enfance du programme spatial des États-Unis. [27] Sur Février 9, AD 1995, le Dr Harris est devenu le premier Afro-Américain à marcher dans l'espace quand lui et l'astronaute Michael Foale (b. AD 1957) "fait un espace de cinq heures de marche pour tester les améliorations thermiques dans les combinaisons spatiales et de hisser un télescope livre 2800 qui aiderait les efforts visant à concevoir ... [la] Station spatiale internationale." [28] Ensuite, il réfléchie vers 1963, peut-être l'année la plus central dans le mouvement des droits civiques (par exemple, le mars sur Washington, DC, où Martin Luther King, Jr. a fait son célèbre "I have a dream" discours en Août, le bombardement Eglise Birmingham un mois plus tard que martyrisé quatre jeunes filles noires, etc) en déclarant: «Ce sont quelques-uns des meilleurs moments et les pires heures. Ici, sur cette planète que nous nous battions pour les droits de l'homme et dans le même temps nous avons été d'envoyer des hommes sur la lune. "[29] À juste titre, le Dr Harris a consacré sa marche dans l'espace, qu'il a décrit comme« probablement le plus beau jour de ma vie »[30] à« tous les Afro-Américains et à la réalisation d'Afro-américain. "[31]

Au cours de sa carrière d'astronaute, le Dr Bernard Harris, Jr. a pris part à deux missions - STS-55 (Avril 26 le 6 mai 1993 à bord AD-Britannique en tant que spécialiste de mission d'effectuer des «une variété de la recherche en sciences physiques et de la vie" [32 ]) et STS-63 (Février 2-11, AD 1995 à bord de Discovery en tant que commandant de charge utile) l'exploitation forestière 18 jours, 6 heures et 8 minutes dans l'espace. Comme Bluford, le Dr Harris est aussi une source d'inspiration en encourageant "les enfants de toutes races à suivre son exemple -« Ne pas avoir peur de rêver ... Récupérer ... une éducation. Soyez prêt à travailler dur. Si vous faites ces trois choses, il n'y a rien que vous ne pouvez pas faire dans la vie. '"[33]

En plus des mentionnées ci-dessus afro-américains astronautes, d'autres ont également poursuivi et fait le voyage vers et à partir de l'espace. Dans le processus, deux - Ronald E. McNair, Ph.D. et le colonel Michael A. Anderson, fait le sacrifice ultime - d'abandonner leurs vies en quête de l'exploration et les découvertes scientifiques pour le bénéfice de l'humanité. Des résumés de ces astronautes d'inspiration sont énumérés ci-dessous:

? Lieutenant Le colonel Michael P. Anderson (AD 1959-AD 2003) a amassé 24 jours, 18 heures, et à 8 minutes dans l'espace, en participant à la mission STS-89 (Janvier 22-31 AD 1998 à bord Endeavor) et STS-107 (Janvier 16 - 1er février AD 2003 à bord de Columbia). Tragiquement le lieutenant-colonel Anderson a perdu la vie lorsque le «navette spatiale Columbia et son équipage ont péri lors de l'entrée, 16 minutes avant l'atterrissage prévu» [34], à Cap Canaveral.

? Charles F. Bolden, Jr. (né en AD 1946) a amassé 28 jours, 8 heures, 37 minutes et dans l'espace, en participant à la mission STS-61-C (12-18 Janvier, 1986 à bord de Columbia), STS-31 (Avril 24-29, AD 1990 à bord de Discovery), STS-45 (24 Mars-Avril 2, AD 1992 à bord d'Atlantis en tant que commandant de la mission afro-américain en premier), et la mission STS-60 (Février 3-11, AD 1994 à bord de Discovery).

? Robert L. Curbeam, Jr. (né en AD 1962) a amassé 24 jours, 17 heures, 49 minutes et dans l'espace, en participant à la mission STS-85 (Août 7-19, AD 1997 à bord de Discovery) et STS-98 (Février 7 -20, 2001 à bord d'Atlantis).

? Le colonel Frederick D. Gregory (né en AD 1941) a amassé 18 jours, 23 heures et 4 minutes dans l'espace, en participant à la mission STS-51-B (Avril 29 le 6 mai 1985 à bord de Challenger AD), STS-33 (Novembre 22 - 27, AD 1989 à bord de Discovery), et la mission STS-44 (Novembre 24 Décembre-1, AD 1991 à bord d'Atlantis).

? Ronald E. McNair, Ph.D. (1950 AD-AD 1986) a amassé 7 jours, 23 heures et 15 minutes dans l'espace durant la mission STS-41-B (Février 3-11, AD 1984 à bord de Challenger). Tragiquement Dr McNair péri avec le reste de l'équipage de Challenger lorsque la navette spatiale a explosé minutes après le lancement sur le Janvier 28, AD 1986 pour la mission STS-51-L.

? Stephanie D. Wilson (né en AD 1966), qui à ce jour a amassé 12 jours, 18 heures et 36 minutes dans l'espace (STS-121 - Juillet 4-17, AD 2006 à bord de Discovery).

Basé sur le rouleau de plus en plus d'Afro-américains astronautes, qui comportera vraisemblablement des Joan Higginbotham (né en AD 1964) qui est prévue pour le lancement cet automne, les efforts du Dr Beth A. Brown, un pionnier afro-américain astrophysicien, la création d'un "Astrophysique nationale et le Programme des sciences spatiales" en Afrique du Sud composée d'une collaboration entre «universités du pays et instituts de recherche [qui se concentre sur] les honneurs et les étudiants à la maîtrise [de créer une nouvelle génération de chercheurs en sciences spatiales] [35], et les AD 2005 débuts de la 11-mètres de large du sud Large Telescope africaine (SEL) à Sutherland, "plus grand télescope et le plus avancé de l'hémisphère sud» [36] l'expérience espace noir ne peut s'enrichir que l'avenir reste prometteur, comme brille la Terre étoile, le Soleil.

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Notes:

[1] Astronomie antique en Afrique. Automne 1998. 18 Juillet 2006. [Http://hej3.as.utexas.edu/ ~ www / roue / africa / index.html]

[2] Jarita Holbrook. Astronomie africaine. Centre pour l'archéoastronomie. Juin 1998. 18 Juillet 2006. http://www.wam.umd.edu/ ~ tlaloc/archastro/ae28.html

[3] Africains étudié l'astronomie à l'époque médiévale. La Royal Society. 30 Janvier 2006. 18 Juillet 2006. [Http://www.royalsoc.ac.uk/news/asp?year=andid=4117andprinter=1]

[4] Nellis Kathy. Voyage vers les étoiles enracinées dans l'histoire. CNN.com. 24 Février 1996. 18 Juillet 2006. http://www.cnn.com/US/9602/black_astronaut/index.html

[5] M. Panther. Africains étudié l'astronomie à l'époque médiévale. 26 Février 2006. 18 Juillet 2006. http://www.assatashakur.org/forum/archive/index.php/t-15793.html

[6] Jarita Holbrook. Astronomie africaine. Centre pour l'archéoastronomie. Juin 1998. 18 Juillet 2006. http://www.wam.umd.edu/ ~ tlaloc/archastro/ae28.html

[7] Curtis Abraham. L'astronomie et l'héritage de l'apartheid. Nouveau Scientist.com. 15 Janvier 2005. 18 Juillet 2006. http://www.newscientist.com/article.ns?id=mg18524822.000andprint=true~~V

[8] Jarita Holbrook. Astronomie africaine. Centre pour l'archéoastronomie. Juin 1998. 18 Juillet 2006. http://www.wam.umd.edu/ ~ tlaloc/archastro/ae28.html

[9] Ngas. Astronomie Culturelle. 18 Juillet 2006. http://ecuip.lib.uchicago.edu/diglib/science/cultural_astronomy/cultures_ngas-1.html

[10] Namouratunga II. Archéoastronomie Afrique. 18 Juillet 2006. http://library.thinkquest.org/C0118421/africakenya.html

[11] M. Panther. Africains étudié l'astronomie à l'époque médiévale. 26 Février 2006. 18 Juillet 2006. http://www.assatashakur.org/forum/archive/index.php/t-15793.html

[12] A.F. Veni. Archéoastronomie tropicale. Sciences 213. 1981.

[13] Laurence R. Doyle et Edward W. Frank. Astronomie de l'Afrique. Encyclopédie de l'histoire des sciences, la technologie et la médecine à des cultures non occidentales. 18 Juillet 2006. http://www.tusker.com/Archaeo/art.encyclo.htm

[14] Jarita Holbrook. Astronomie africaine. Centre pour l'archéoastronomie. Juin 1998. 18 Juillet 2006. http://www.wam.umd.edu/ ~ tlaloc/archastro/ae28.html

[15] Laurence R. Doyle et Edward W. Frank. Astronomie de l'Afrique. Encyclopédie de l'histoire des sciences, la technologie et la médecine à des cultures non occidentales. 18 Juillet 2006. http://www.tusker.com/Archaeo/art.encyclo.htm

[16] M. Panther. Africains étudié l'astronomie à l'époque médiévale. 26 Février 2006. 18 Juillet 2006. http://www.assatashakur.org/forum/archive/index.php/t-15793.html

[17] Jarita Holbrook. Astronomie africaine. Centre pour l'archéoastronomie. Juin 1998. 18 Juillet 2006. http://www.wam.umd.edu/ ~ tlaloc/archastro/ae28.html

[18] Abraham Curtis. L'astronomie et l'héritage de l'apartheid. Nouveau Scientist.com. 15 Janvier 2005. 18 Juillet 2006. http://www.newscientist.com/article.ns?id=mg18524822.000andprint=true~~V

[19] John Reader. Afrique: A Biography du continent. Vintage Books: New York. 1997. 286.

[20] ainsi la Seconde Guerre mondiale dépliant pavée pour les astronautes noirs. Nouvelles 4. 10 Juillet 2006. http://kvoa.com/global/story.asp?s=5130972andClientType=Printable

[21] Robert Henry Lawrence, Jr. Biographie. À propos de la NASA et, Inc 2006. 18 Juillet 2006. http://space.about.com/cs/deceasedastronaut/a/rhlawrencebio.htm

[22] Robert Henry Lawrence, Jr. Wikipedia.com. 3 Juillet 2006. 18 Juillet 2006. http://en.wikipedia.org/wiki/Robert_Henry_Lawrence_Jr

[23] Arnaldo Tamayo Méndez. Wikipedia.com. 4 Juillet 2006. 18 Juillet 2006. http://en.wikipedia.org/wiki/Arnaldo_Tamayo_Mendez

[24] Nick Greene. Guion "Guy" Bluford - L'astronaute de la NASA. À propos de, Inc 2006. 18 Juillet 2006. http://space.about.com/cs/formerastronauts/a/guionbluford.htm

[25] Mae Jemison. Wikipedia.com. 28 Juin 2006. 18 Juillet 2006. http://en.wikipedia.org/wiki/Mae_Jemison

[26] Marilyn Marshall. Enfant des années 60 en passe de devenir la première femme noire dans l'espace. Gale Group. 2004. 18 Juillet 2006. http://www.findarticles.com/p/articles/mi_m1077/is_n10_v44/ai_7804625/print

[27] Première Afro-Américain à marcher dans l'espace Parle En Palestine. KLTV.com. 18 Janvier 2005. 21 Juillet 2006. http://afgen.com/bernard_harris.html

[28] 1997 - lauréats Bernard A. Harris, Jr., MD Dominion. 2006. 21 Juillet 2006. [Http://www.dom.com/about/education/strong/1997/bernardharris.jsp]

[29] Premièrement Afro-Américain à marcher dans l'espace Parle En Palestine. KLTV.com. 18 Janvier 2005. 21 Juillet 2006. http://afgen.com/bernard_harris.html

[30] Nick Greene. Dr Bernard Harris, Jr., Biographie. À propos de, Inc 2006. http://space.about.com/od/foremrastronauts/a/bernardharris.htm

[31] de 1997 lauréats - Bernard A. Harris, Jr., MD Dominion. 2006. 21 Juillet 2006. [Http://www.dom.com/about/education/strong/1997/bernardharris.jsp]

[32] Nick Greene. Dr Bernard Harris, Jr., Biographie. À propos de, Inc 2006. http://space.about.com/od/foremrastronauts/a/bernardharris.htm

[33] Nick Greene. Dr Bernard Harris, Jr., Biographie. À propos de, Inc 2006. http://space.about.com/od/foremrastronauts/a/bernardharris.htm

[34] Michael Phillip Anderson. Wikipedia.com. 3 2006 Julye. 18 Juillet 2006. http://en.wikipedia.org/wiki/Michael_P._Anderson

[35] Programme de sciences spatiales prend son envol. La science en Afrique. Mai 2003. 18 Juillet 2006. http://www.scienceinafrica.co.za/2003/may/stars.htm

[36] George Faraday. Afrique du Sud pour construire la plus grande du Sud télescope de l'équateur. Afrique Nouvelles service. 8 Juillet 1998. 21 Juillet 2006. http://allafrica.com/stories/printable/200101080369.html

Sources supplémentaires:

Bail Davidson. Les Cités Perdues de l'Afrique. Little, Brown and Company. Etats-Unis. 1959.

Bernard A. Harris, Jr. Wikipedia.com. 11 mai 2006. 18 Juillet 2006. http://en.wikipedia.org/wiki/Bernard_Harris

Charles F. Bolden, Jr. Wikipedia.com. 4 Juillet 2006. 21 Juillet 2006. http://en.wikipedia.org/wiki/Charles_F._Bolden

Frederick D. Gregory. Wikipedia.com. 8 Juin 2006. 18 Juillet 2006. http://en.wikipedia.org/wiki/Frederick_Gregory

Guion Bluford. Wikipedia.com. 15 Juin 2006. 18 Juillet 2006. http://en.wikipedia.org/wiki/Guion_Bluford

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