Ne soyez pas Headstrong - Consulter un avocat d'immigration sur les transferts sociaux

Nous avons souvent entendu dire que lorsque les avocats d'immigration recommandons que les profanes éviter le dépôt de leur propre formalités d'immigration, un intérêt financier est la seule motivation. Ce qui est loin de la vérité. Nous ne pouvons pas estimer combien de fois notre cabinet a eu pour essayer de réparer les dommages causés à un cas tout à fait bien par un immigrant excès de confiance, directeur des ressources humaines, ou d'un organisme de placement. Personnellement, je préfère perdre un client potentiel à un autre avocat que de la voir prendre une chance lors du dépôt de ses papiers propres auprès de l'USCIS. La probabilité d'échec est tout simplement trop élevé.

Voici une liste de cinq notables des histoires d'horreur d'immigration qui sont venus dans notre bureau depuis le début de l'année. Toutes ces situations tristes aurait pu être évitée si les parties ont d'abord consulté un avocat spécialisé en immigration expérimenté.

LES TRANSFERTS L-1 que presque jamais arrivé

Le PDG d'une société de logiciels basée à Manchester au Royaume-Uni m'a appelé à la fin de Avril. Elle avait essayé depuis Décembre 2006, de transférer trois employés clés d'une filiale aux États-Unis dans le sud des États-Unis. Deux d'entre eux étaient des citoyens britanniques, et un était un ressortissant d'un pays en Asie du Sud. Cela aurait dû être une affaire simple.

Le partenaire de la société des États-Unis a tenté de gérer la paperasse lui-même, depuis qu'il avait précédemment traité deux ALENA visas pour une paire de professionnels canadiens. Ce que l'entreprise ne savait pas que les exigences de l'application et les procédures pour obtenir un visa ALENA diffèrent sensiblement de celles applicables à la visa L-1 mutées à l'intérieur. Bien que le partenaire de toutes les informations et documents dont il avait besoin pour traiter le cas en Janvier, il a occupé les pétitions, afin qu'il puisse rechercher les bonnes procédures de L-1. Il était tard Avril, et le partenaire n'avait toujours pas avancé sur les pétitions.

J'ai demandé à la chef de la direction à courier-moi les renseignements et documents. Dans les trois semaines suivant la réception des documents, nous étions en mesure d'envoyer tous les trois des cessionnaires à l'ambassade du Royaume-Londres d'avoir tamponner leur passeport à leur L-1A visas. Problème résolu.

LE REFUS CONSULAIRES

Un agent de artistes / promoteur cherche à réunir un groupe de musiciens folkloriques péruviennes aux États-Unis pour une série de festivals de musique. Étonnamment, il a été en mesure de préparer correctement et déposer la pétition requise. Il a reçu l'avis d'approbation de l'USCIS dans les 45 jours. Quand les musiciens sont allés au Consulat des États-Unis à Lima pour ramasser leurs visas, ils ont été refusées. Le problème: Le fonctionnaire consulaire ne crois pas que les musiciens avaient «suffisamment de liens avec le Pérou", en dépit du fait qu'ils avaient vécu toute leur vie au Pérou, de leurs parents, leurs épouses et leurs enfants vivaient au Pérou, et ils avaient un emploi et les entreprises à retourner au Pérou une fois que le visa a expiré.

Ayant déjà traité avec pas mal de refus consulaires années, nous avons eu au téléphone avec le fonctionnaire consulaire américain qui s'était occupé avec les musiciens, a fait une liste de toutes les objections de ses, retraité et les demandes de visa. Dans une semaine, les musiciens ont été émis leur visa, et étaient sur leur chemin vers la Californie. (Soit dit en passant, l'approbation préalable d'un demande de visa par l'USCIS ne garantit pas la délivrance du visa par le Département d'Etat américain, et la délivrance préalable d'un visa par le consulat des États-Unis ne garantit pas l'admission aux États-Unis par l'USCIS.)

Manquer le bateau H-1B

Vers la fin de Février, nous avons reçu un appel d'un jeune homme exaspéré qui avait été offert un poste dans une clinique médicale dans le Nevada comme un physicien médical. Après quelques recherches indépendantes sur l'Internet, il avait déterminé que la clinique doit déposer une pétition H-1B en son nom. La société, qui n'avait jamais demandé à un travailleur étranger avant, à gauche les détails d'immigration vers lui.

Il a étudié le site Web de l'USCIS, téléchargé les formes, et les a envoyés à la clinique. La clinique a rempli les formulaires et les ai envoyés dans les USCIS avec un droit de dépôt de 190,00 $. C'était en Janvier, et il n'avait pas encore entendu parler de l'USCIS. La source de son stress était la rumeur selon laquelle a commencé à circuler en Février que le bouchon H-1B pour l'exercice en cours serait conclu sur Avril 2, 2007 - le premier jour que le bouchon de visa a été prévu d'ouvrir. Il voulait savoir ce qui se passerait si sa demande n'a pas été approuvé avant le plafond a été atteint.

Avant d'aborder sa principale préoccupation, nous lui avons demandé de nous faxer tous les documents de la clinique avait déposés auprès de l'USCIS. Nos pires soupçons ont été confirmés, après examen des documents. Les formulaires ont été remplis de manière incorrecte, les formes qui n'ont pas à être déposé avait été déposé avec les formes correctes, et la taxe de dépôt a été incomplète. Le salaire en vigueur pour le poste n'avait pas été déterminée, et aucune demande état du travail avait été déposée auprès du ministère du Travail. En outre, la clinique n'avait pas fourni suffisamment de preuves en ce qui concerne soit la clinique ou le poste offert. Outre tout cela, les règlements USCIS ont indiqué clairement que les pétitions qui atteint son service courrier avant Avril 2, 2007 sera rejetée. Ainsi, il était clair pour nous que l'USCIS finirait par rejeter la demande. Lorsque nous avons donné le jeune homme les mauvaises nouvelles, il était assez sceptique. Nous avons suggéré qu'il retirer la pétition originale, et re-déposer une pétition corrigée exactement sur Avril 2, 2007. Il nous a dit qu'il allait y penser et de nous rappeler.

Le 14 Mars, nous avons reçu un autre appel du jeune homme. USCIS a rejeté la requête comme nous l'avions prédit et il l'avait retourné à la clinique. Il nous a demandé de reprendre l'affaire. Le 2 Avril 2007, nous avons déposé la correction H-1B pétition. Plus de 150.000 pétitions est arrivé à l'USCIS le même jour, chacun d'eux en lice pour les 65.000 visas disponibles. Heureusement, la pétition de notre client un visa H-1B a été parmi ceux choisis au hasard pour le traitement. Depuis, il a reçu son avis d'approbation.

LE REJET ALENA

Le 25 mai 2007, nous avons reçu un appel téléphonique d'une femme qui avait été embauché comme analyste des systèmes informatiques par une entreprise high-tech de démarrage à San Francisco. Elle avait décroché le poste par un cabinet de recrutement à Toronto. Ce cabinet de recrutement même avait renvoyé le candidat à un avocat canadien pour préparer la demande. Cela aurait dû être une question assez courante, puisque la femme qualifiée pour un visa TN-1 en vertu de l'Accord nord-américain de libre-échange (ALENA). Toutefois, il s'est avéré que l'avocat n'avait qu'une expérience limitée en la matière. Dans son apparente ignorance, l'avocat a envoyé la femme à la frontière des États-Unis / Canada à Buffalo avec une trousse de demande mal préparée (qui n'avait pas suffisamment de preuves des qualifications de la femme) à appliquer pour le visa à l'avance de la date à laquelle elle voulait faire entrer dans le États-Unis. Elle a été rejetée.

Nous avons examiné les documents qu'elle avait présenté à la frontière, et j'ai trouvé qu'il était très désireux, en substance, ainsi que la présentation. Elle nous a demandé de reprendre l'affaire, et dans une affaire de cinq jours, nous lui avons envoyé au poste d'inspection pré-vol à l'aéroport international Pearson à une demande savamment préparés, et ses sacs à la main. Heureusement nous avons reçu un appel téléphonique de son après-midi nous donner les bonnes nouvelles qu'elle avait été délivré le visa TN-1 et était sur le point de monter à bord son vol à destination de San Francisco. Nous avons reçu plusieurs renvois de ce client dans les deux derniers mois.

IL N'EST JAMAIS AUSSI SIMPLE QUE Ils vous disent

Au début Avril de cette année, notre bureau a été contacté par un monsieur qui avait offert un emploi bien rémunéré en tant que conseiller de la famille dans le sud des États-Unis. Bien qu'il n'ait pas un grade universitaire, il avait acquis un peu moins de quatre ans d'expérience dans ce domaine. Il a communiqué avec l'USCIS à son compte et a été dit par certains commis sans nom que tout ce qu'il avait à faire était de remplir un «I-750", présente elle à l'aéroport, puis déposer une pétition pour un changement de statut une fois qu'il est arrivé à États-Unis.

Ravi de ces nouvelles, le monsieur est revenu au Canada, a vendu sa maison, a quitté son emploi (ainsi que sa femme) a pris ses enfants de l'école, et ils ont tous montré à l'aéroport, sacs à main. Bien sûr, ils ont été refoulés. . Raisons: 1) il avait suivi la mauvaise méthode pour un visa de travail permanent; 2) il n'avait pas droit en vertu de toute catégorie de visa de travail temporaire car il n'a pas détenir un diplôme universitaire et n'a pas eu une expérience d'au moins 5 ans dans le. zone concernée.

Malheureusement, il n'y avait rien que nous puissions faire pour ce monsieur, car il n'avait pas droit pour n'importe quel type de visa. Même s'il y avait un bon coup de se qualifier pour un visa en vertu de l'ALENA à l'année un plus d'expérience, il avait déjà quitté son emploi et a vendu sa maison. Le mal était fait.

Pas tous les cas, peuvent être récupérés, comme dans l'exemple ci-dessus illustre. Mais beaucoup ne le peuvent, et nous sommes très fiers des cas nous avons réussi à piloté à une disposition satisfaisante. Bien sûr, il serait beaucoup mieux pour toutes les parties concernées si, au lieu d'essayer de traiter les questions d'immigration importants sur leurs propres, les immigrants potentiels ou les employeurs de prendre le temps de consulter un avocat spécialisé en immigration expérimenté. Les économies de temps, d'argent et de frustration vaut bien l'investissement....